Les Chemins du Roy, Ste Néomaye (79) le 2/7/2017

Belle météo pour courir à Ste Néomaye pour la 33e édition des Chemins du Roy. Comme d'habitude, le 15 km et le 25 km partent en même temps, à 9 h, par un temps gris, avec une température clémente pour la saison, pas trop chaude.

Je pars avec Julie, on a prévu de faire la course ensemble, c'est son 1er trail sur cette distance. Départ tranquille, petit ralentissement dans le rétrécissement du 2e km. Comme d'habitude, je fais la descente à fond pour le plaisir, bien que les cailloux et rochers soient très humides. Dans la grosse bosse du 3e km, on commence à courir un peu, puis marcher, avant de courir de nouveau dans le faux-plat terminal sur la route. Pour moi, les jambes tournent bien, c'est agréable. Ravito au km 5.5, puis Julie prend un rythme assez élevé sur le chemin plat le long de la Sèvre, en attendant le "talus" du km 8.5. On a beau être prévenu, ça calme... On court ensuite sans problème, marchant un peu dans la montée du 11e km, puis j'ai un petit coup de moins bien vers le 12e et je la laisse partir.

Un peu avant l'arrivée, une petite modification du circuit l'ampute de 250 m environ, et on arrive à 15 km pile cette année.

La fin est toujours aussi spectaculaire et difficile !

1h38'38, soit approximativement le même chrono qu'en 2016, et 244e sur 322 arrivants

La Garette (79), 12 km du Marais, le 21 mai 2017

Une très belle course que ces 12 Km du Marais Poitevin, à La Garette en bord de Sèvre Niortaise.

Départ à 10 h pour le 6 km et 12 km confondus, avec mon ami Pascal Marchand au micro !

Très beau temps, idéal pour courir, un beau soleil mais pas encore trop chaud, du vent mais le circuit est bien protégé par beaucoup d'arbres, frênes, peupliers, qui apportent en plus une ombre bienvenue.

Après un départ assez prudent de ma part, car pas beaucoup d'entraînement en ce moment, je passe tranquillement les 2 ou 3 petites montées et descentes des 2 premiers kms. Ensuite, c'est tout plat, absolument plat ( à part quelques passerelles qui enjambent les conches ( canaux ). 1 ravitaillement, après le 6e km, puis la seule "côte" du parcours, dans le village du Vanneau.

Elle me fait monter aussi un peu le cardio, et du coup, même si ensuite il y a une descente, j'ai du mal à retrouver mon rythme et ma moyenne baisse un peu. Ce qui fait qu'après un passage en 27' au 5e km, je ne suis qu'en 55' au 10e. Je suis un peu surpris par l'arrivée qu'on découvre au dernier moment, et je ne fais un petit sprint que sur les 100 derniers mètres, alors que j'avais moyen d'accélerer depuis un moment, mais je craignais une dernière côte et en gardais sous le pied. Bon à savoir pour l'an prochain !

et l'arrivée en 1h06'35 à mon chrono, et 136e sur 177 arrivants

Vraiment aucune critique à faire, grand parking tout près des dossards, du départ et de l'arrivée, des toilettes, un circuit rapide et verdoyant dans un très joli cadre, des bénévoles en nombre suffisant, un fléchage très bien fait, un vrai plaisir !!!

Trail des Coteaux, VOUTEZAC ( Corrèze ) , le 30 avril 2017

Pour la 3e année, je me trouve au départ du Trail des Coteaux à Voutezac, au nord de Brive, dans un relief très vallonné, tout près des gorges de la Vézère.

Après avoir fait le 22 km la 1ere année, je fais comme l'an dernier le 13 km ( qui en fait 13.2 cette année, suite à des travaux dans le bourg )

Départ à 10 h, le vent rafraîchit un peu l'air, mais c'est trompeur il fait relativement doux, et je fais l'erreur de partir avec 2 T.shirts. Ce que je regrette dès la 1ere montée, après 700 m de course, avec 140 m de déniv. environ. Pas l'habitude de transpirer comme ça, j'ai du mal à trouver mon souffle, surtout que je sors juste d'un gros rhume qui me fatigue aussi !!!

Donc je suis très bien dans les descentes, pas trop mal quand c'est plat ( rare ) et à la rue complet dans les côtes. 

Après 5 km, je vois que je suis déjà en retard par rapport à mes temps de passage de l'an dernier, et l'écart se creuse encore au fil des kilomètres. Du coup la combativité reste un peu en berne; juste profiter du paysage et attendre l'arrivée...

Petit peloton au départ ( 90 coureurs/ses ) et 87 à l'arrivée, beaucoup d'autres courses en concurrence ce jour-là. Je suis agréablement surpris d'être 65e en 1h30 car j'avais tellement l'impression de ramer que je me voyais bien dans les tout derniers. Faut croire que c'était dur pour tout le monde....

Pas d'erreur de parcours cette année  ( 2 fois en 2016 ). Comme il n'y a qu'un ravitaillement, vers le 7e km, j'ai pris 30 cl de boisson. Bonne organisation, très joli parcours, bois, vignes, pommiers, vues sur les vallées. 

10 km de l'APF ( paralysés de France ), Niort le 26/3/2017

( photo : Running 79 )

Enfin une bonne météo pour courir cette année ! peu de vent, pas froid, un peu de soleil au départ...

On est 450 au départ sur les 2 courses, le 5 et le 10 km, dont un peu plus de la moitié sur le 10 km.

Toujours ce circuit très agréable tracé en grande partie sur le chemin de halage le long de la Sèvre Niortaise et donc relativement plat ( sauf la côte de la Roussille, vers le km 5.5, une bonne pente terminée par un faux-plat assez pénible vent de face ! )

Petite modification cette année, une boucle en ville un peu plus allongée pour éviter le tour de stade traditionnel à l'arrivée, mais sans doute la même distance.

Je pars à bonne allure pour la forme du moment, ( 15'34 au 3e kilo ), mais vers le 4e km, la douleur aux ischio-jambiers que je traine depuis plus d'1 mois commence à se faire ressentir... abandonner ou réduire l'allure ? j'essaie de continuer en allant plus tranquillement, et le douleur ne s'amplifie pas. Je passe comme ça en 26'19 au 5e km, puis je marche un peu dans la côte pour ne pas aggraver le problème. Ca tient jusqu'à l'arrivée, en regrettant de ne pas avoir pu maintenir mon allure initiale, j'aurais fait mieux que les 53'33 affichés à l'arrivée. ( pas mal malgré tout, meilleur chrono depuis 1 an ). Et 141e sur 272 arrivants.

 

Trail de la Pointe du Grouin, à Cancale (35) le 5 mars 2017

 Passage à Port-Pican, 5e km

 Port Mer, 6.5 km

 A la Pointe du Grouin, 8.5 km, plus aucun abri avec un vent Nord Ouest limite tempête !

 A l'anse du Verger, un nouveau passage dans le sable

 L'anse Duguesclin, 15 km, 2e et dernier ravito. On quitte ensuite le bord de mer pour revenir à Cancale

 L'anse Duguesclin

Le parcours : 15 km très difficiles tout en côtes et descentes sur un sentier souvent technique, avec souvent des marches irrégulières à monter ou descendre, bien abrité de la tempête jusqu'à la Pointe du Grouin, km 8. Ensuite il faut faire très attention car le vent déséquilibre, sur un sentier souvent en corniche au-dessus des rochers et des vagues ( plusieurs chutes de concurrents, mais sur le sentier). Puis jusqu'au 21e km, le parcours devient roulant, peu de dénivelé, le vent est de côté, et enfin 2 derniers km très difficiles, sur une plage de cailloux et rochers, puis en côte sévère dans Cancale. En tout 550 m den. + et - pour 23,400 km

Départ à 9 h 30 près de l'église de Cancale, un temps gris, légèrement pluvieux, avec beaucoup de vent. Grosse descente sur route dès le départ ( > 12%), suivie presqu'aussitôt d'une montée identique qui me fait déjà marcher un peu !!! Je suis en fait parti trop vite craignant des bouchons aux passages en chicanes à l'entrée et sortie des sentiers. Du coup je me retrouve à un rythme un peu trop élevé pour la distance à parcourir, je suis plutôt sur un tempo de 10 km que sur un trail de 2 h 30 ou plus. Ca monte vite, ça descend vite, ça s'arrête... ça repart... dans les descentes il est souvent difficile de courir à cause des  pierres irrégulières, des appuis incertains. Moi qui tablais sur une moyenne de 9 km/h, je suis juste un peu plus de 8...

Je suis parti avec une ceinture boisson de 60 cl, vu qu'il n'y a que 2 ravitaillements. Le premier à la pointe du Grouin, un peu plus de 8 km, et déjà 1 heure de course.

Le paysage qui était déjà magnifique devient grandiose, l'océan bleu-vert-turquoise, le vent qui rend la course encore plus difficile ( je suis parfois obligé de tenir mon dossard, j'ai l'impression que le vent va arracher les épingles ), et il vaut mieux faire très attention où on met les pieds. Un passage assez long dans du sable, à l'anse du Verger commence à me faire prendre conscience d'une petite fatigue... mais ça va encore bien jusqu'au 2e ravitaillement, à l'Anse Duguesclin, 15e km en 1h52.

Ensuite, le retour par "les terres" vers Cancale se fait sur un sentier assez mou, terre un peu grasse au début, en faux-plat montant, puis des chemins plus propres et petites routes goudronnées. Ca devient très roulant, et pour ceux qui ont encore des réserves c'est l'occasion de remonter la moyenne. Malheureusement j'ai trop donné dans la 1ere partie  et je manque un peu d'essence ! De plus 3 semaines avant le trail, une douleur aux ischios-jambiers ( jbe droite ) m'a obligé à couper mon entraînement pendant plus de 10 jours, d'où ce manque de fond. Et pour finir, vers le 18e km, ce problème revient, très douloureux. Je passe tout un moment arrêté à essayer de poser un élastoplast à l'arrière de ma cuisse, mais avec le vent qui colle sans arrêt l'élasto sur lui-même, ça complique tout !!! je repars en marchant, voyant des groupes entiers me dépasser...le moral baisse !!! au 20e km, commence une longue descente vers la plage de Cancale, je trottine doucement, je ne veux pas abandonner si près. La course sur la plage de cailloux et rochers puis la montée vers l'arrivée me paraissent interminable, d'autant qu'il pleut maintenant, pluie mélangée à de la grêle. Je passe l'arrivée en 2h58 et 567e... j'ai l'impression d'avoir mis au moins 1/4 d'heure de trop, c'est désagréable !!!

A part ça, c'est très bien organisé, et encore une fois le parcours est magnifique, à refaire en partant plus doucement !!!

Trail de l'Abbaye, Celles sur Belle (79), le 29 janvier 2017

( photos : Running 79 )

Température fraiche ce matin, environ 3 à 4° pour le départ de ce Trail organisé par "Flying Sangliers"

Départ donné par Mous à 9 heures dans un superbe décor, l'Abbaye de Celles sur Belle, environ 420 à 430 coureurs

Le temps est gris, les sentiers et chemins très humides. Le 1er km est plat, suivi d'une côte de 300 m environ, une descente puis une montée qui fait plus mal, de 700 à 800 m. Ensuite c'est une succession de faux-plats jusqu'au 10e km, avec une montée par-ci par-là, mais relativement roulant.

Une descente en pente douce ( 40 m. deniv negatif sur 2 km ) permet de relancer un bon rythme, coupé brutalement par la traversée dans un gué de la Belle, ou je récolte quelques cailloux fins, gênant dans les chaussures.

 S'ensuit un tunnel ou il vaut mieux ne pas être claustrophobe : environ 60 m de long, 80 cm de large et 1.20 m de haut, donc les épaules touchent presque les côtés et il faut se plier en 2 pour passer. Et bien sûr avec les pieds dans l'eau... boueuse ( sinon c'est pas marrant ! ). Passage dans l'eau encore ensuite, puis la boue fine 10 à 15 cm de profondeur, idéal pour y laisser une chaussure... et après la montée d'un talus taille XXL avec des marches sommaires de 40 cm, on peut se remettre à courir.

Faux-plats montants et descendants, côtes et descentes se succèdent à l'arrivée, mais sur des terrains souples et agréables dans les bois. L'arrivée se fait devant l'abbaye, après des escaliers en pierre à descendre.

Je suis agréablement surpris de n'avoir eu aucun coup de "moins bien", toujours à un bon rythme sans sensation de fatigue, en accélérant même sur le dernier kilomètre. Je finis en 1 h 53' 19 et 333e. L'emplacement des 2 ravitaillements est un peu mal équilibré, au 7e et au 14e ( 6e et 12e seraient mieux à mon avis ), mais la course est vraiment très bien organisée, parking, dossards, fléchage impeccable, bénévoles en nombre au départ et sur le parcours, je le referai avec plaisir ! 
PS ; un petit coucou à Antoine et Mathilde qui ont partagé les derniers kilomètres avec moi  :)  sympa !
 

10 km de ST GELAIS (79), le 11/12/2016

 Un joli parcours, la Sèvre, des coteaux, de belles maisons, des petits chemins

Environ 110 m de dénivelé, pas si facile !

Départ à 10 heures pour 350 coureurs environ, par un temps nuageux, humide et froid, mais à courir on se réchauffe vite !

Pour éviter l'embouteillage de l'an passé à la passerelle en voie unique du 2e kilomètre ( traversée de la Sèvre Niortaise ), je prends un départ plus rapide, avec le risque de le payer ensuite. Mais en fait, tout va bien, pas de problème à la passerelle, et après avoir ralenti un peu pour retrouver une cadence "normale" pour moi, je repars bien et tout s'enchaîne bien, côtes, descentes, je passe au 5e en 27'22, en avance sur 2015. Je me méfie ensuite de ce très long faux-plat montant du 7e kilo, qui m'avait bien coupé les jambes l'an passé, et en montant tranquillement, je relance bien ensuite dans le chemin de terre. 

Nouvelle partie de route plate et traversée d'une prairie sous le regard et les encouragements (?) d'un bon troupeau de vaches, nouvelle passerelle et le 9e km arrive, et bientôt la terrible côte d'arrivée, environ 400 m, le début est terrible, entre 10 et 15% ( je marche quelques mètres, et ne suis pas tout seul ! ) et ça termine en faux-plat montant, les poumons commencent à se plaindre....

55'53 à mon chrono à l'arrivée, presque 3 minutes de moins, ça fait du bien par les temps qui courent !!!

 

Trail de LA ROCHE-COURBON, le 23/10/2016

 1er passage au Chateau ( km 11 environ )

 2e passage ( km 14 )

.... et les derniers mètres ! ( km 20 )

Trail du château de La Roche-Courbon, près de St Porchaire, 4e édition. Après avoir fait le 10 km la 1ere année, je prends le départ du 20 km cette année.

Je me doute que la fin sera un peu difficile car une tendinite rotulienne m'oblige à raccourcir mes entraînements depuis 15 jours, voire parfois à les annuler, ça tombe plutôt mal !!!

Il vaut mieux arriver tôt avant la course cette année, car les organisateurs ont trouvé un champ pour servir de parking à environ 1,5 km du départ. Donc se garer, aller chercher son dossard, revenir à la voiture se changer, revenir au départ = 4,5 km... de quoi bien s'échauffer et passer une demi-heure minimum, si tout va bien et qu'il n'y a pas trop d'attente au retrait du dossard... ( qui est quand même bien organisé, il faut le dire )

Bon, donc je parviens à partir quand la cloche sonne ( ici le départ est donné par une cloche du château ) ( je ne vise personne en particulier ), à 10h05, les concurrents du 10 km étant partis depuis 5 mn.

Vu ma condition physique, je suis parti prudemment, autour de 10 km/h, dans des allées boisées où il faut se méfier des trous et des racines, au moins dans les 2 premiers kms. Ensuite, jusqu'à la mi-course, ce sont de belles lignes droites (presque ennuyeuses ) sur de beaux chemins de terre ou empierrés, et relativement plats et roulants, juste quelques faux-plats ( qui sont comme chacun sait "une sorte d'entre-côte", dixit Antoine Bondin ).

On revient ensuite passer au château, vers le 11e km, avec maintenant des marches à monter, un ravitaillement, et la 2e partie commence encore par un chemin herbeux, avec des trous, plat mais usant. Vient ensuite une descente de marches en pierre de 30 à 40 cm, passage devant les grottes du parc ( qui plaisaient tant à Pierre Loti dans sa jeunesse ), terrain gras, suivi d'une remontée sèche en marches irrégulières, nouveau retour au chateau et de nouveau un escalier de pierre, des terrains irréguliers peu roulants, un slalom dans une carrière de pierres, et ça se termine par une petite ascension sur les rochers du château, avec corde pour s'aider dans l'exercice, traversée des cuisines, nouvel escalier, une cour, un porche, une autre cour, un autre porche... et c'est fini.

Depuis le 15e km je rame, j'espérais mettre moins de 2 h, c'est largement raté, 2 h 08'26, mais je termine quand même en courant, presque au sprint.

Joli parcours de trail, surtout dans la 2e partie. Excellent fléchage et bénévoles indiquant la direction à chaque bifurcation ( et il y en a un paquet !! ), et le cadre du château, très majestueux.

Course du Run, St Vaast La Hougue (50), le 31 juillet 2016

 Passage du Run ( prononcer "Rin" ), entre St Vaast et l'île de Tatihou

 Arrivée dans l'île

 Sortie de l'île ( km 5.5 environ )

 Le parcours, 1 aller-retour sur la plage de St Vaast ( 1km environ ), puis traversée entre les parcs à huitre à marée basse, de l'eau au niveau des chevilles, et 100 m au niveau des genoux, tour de l'île dans sable mou, rochers, herbe, retour dans l'eau, (moins haute, la marée avait continué de baisser), de nouveau sur la plage, et la fin sur le terre-plein du port de plaisance ( 800 m sur du bitume )

 Echauffement tranquille avec Cédric et Carole

 Le départ des 1500 concurrents

 Avec Carole, après 500 m

Traversée du Run

Départ à 13h30, suivant l'horaire de marée basse du jour, on est 1500 sous ce beau soleil de la Manche. Malgré cet imposant peloton, on peut courir pratiquement dès le coup de pistolet car l'espace est large ( même s'il vaut mieux courir sur le sable dur que dans les cailloux mouillés ). Je pars tranquillement, environ 800 m avec Carole, puis je reprends des concurrents assez facilement. A l'endroit le plus profond (50 cm ) du Run, il y a un courant assez fort de gauche à droite qui surprend et déséquilibre, surtout qu'on ne voit pas trop les cailloux du fond.

Arrivée dans l'île de Tatihou par un petit faux-plat montant, puis on alterne course dans le sable mou, rochers, cailloux, herbe... assez fatiguant tout ça !!! Un ravitaillement au niveau du musée, dans l'île et retour par le Run. Je profite du passage dans l'eau pour marcher un peu et reprendre mon souffle. Ceux qui m'accompagnent à ce moment continuent de courir, mais laissent pas mal de force et je reprends tout le monde peu après.

Je continue d’accélérer doucement jusqu'à l'arrivée, en 49'19 pour 8,3 km, à la 854e place

Trop marrant cette course !!!

Les Chemins du Roy, Ste Néomaye le 3 Juillet 2016

Les terribles marches à 300 m de l'arrivée !!!

Départ à 9 h par un beau soleil, peu de vent, pas trop chaud : de bonnes conditions pour courir !!!

Le départ est décalé de 400 m environ par rapport aux dernières éditions, et donc le "14 km" qui en faisait 14,9 passe donc à 15,3

Comme à Aiffres, je décide de me placer plutôt à la fin du peloton avant l'arche de départ pour ne pas être tenté d'aller trop vite au début. Tout va bien au niveau jambes et souffle, mais après 2 km, je regrette un peu ce départ prudent car notre groupe est bloqué dans un passage unique en montée pierreuse et c'est 200 ou 300 m qui se font en marchant lentement, alors que je passe tous les ans en courant ici.

Ensuite, arrive la première grosse côte, je cours un peu dans le 1er tiers, puis je marche, et quand la montée se termine sur le chemin ( mais pas sur la route) je reprends la course sans problème, en dépassant les imprudents qui se sont grillé à monter en courant. A part un arrêt au ravitaillement, je cours très bien jusqu'à la 2e montée difficile au km 8,5. Un énorme talus de 20 à 30 m de dénivelé dans lequel une corde est bienvenue pour aider à monter entre les arbres. Un long faux-plat montant à la sortie du talus encore en marchant un peu, puis ça repart jusqu'à l'arrivée avec un nouveau ravito vers le 11e km.

Les jambes tournent très bien, l'allure est régulière dans ces chemins ombragés avec moins de bosses que dans la 1ere partie.

Puis c'est les 300 derniers mètres, vraiment terribles, la montée des marches dans le petit tunnel sous les voies de chemin de fer, encore des marches à la sortie, une pelouse en forte pente ensuite, et le goudron qui monte jusqu'à l'arrivée.

209e sur 296 arrivants en 1h37'55 . Une belle course dans un beau cadre, petits chemins, sentiers, passerelles au-dessus de ruisseaux, beaucoup d'ombre, organisation bien rodée