lundi 26 février 2007

2002 : 2 marathons, 2 abandons !

25 mai 2002, " La Pastourelle ", à Salers. Passage au Col de Néronne (1242 m ) par un temps gris et froid
25 mai 2002, Arrivée de La Pastourelle, à Salers. Un magnifique village du Cantal, et une jolie course.
25 mai 2002, " La Pastourelle" à Salers, Cantal. Passage de Delphine au Col de Néronne (1242 m ). Nous avons eu le plaisir de la retrouver sur cette course qu'elle va gagner avec 20 mn d'avance sur la 2eme !

8 septembre 2003, Delphine dans le "Trail des Fiancés", course de 35 km entre Arrens-Marsous et Sallent de Gallego (Espagne ). Passage au Port de la Peyre-St Martin (2292 m), attaque de la descente finale pour gagner ce trail. Un modèle d'équilibre, d'élégance et d'efficacité.

23 juin 2006. Belle-île en Mer, les Aiguilles de Port-Coton

22 juin 2002, Belle-île en Mer. Cette "Mamie" vient de danser toute la soirée dans le Fest-Noz qui anime la Pasta-Party.... le lendemain, elle va courir le semi-marathon.... puis danser en arrivant !!! Chapeau... euh..coiffe !!!
23 juin 2002, Belle-île en Mer, entre 2 côtes un moment de plat, moment de répit en bord de plage

23 juin 2002, Traversée de Belle-île en Mer, l'arrivée est proche, la succession de côtes rend les chaussures lourdes !!!
23 juin 2006, l'île d'Houat, petite voisine de Belle-île en Mer
1er septembre 2002, "La Panoramique", montée de Luchon à Superbagnères par la route

1er septembre 2002, Luchon, "La Panoramique"
20 octobre 2002, marathon d'Echternach, au Luxembourg, passage dans le parc municipal
20 octobre 2002, marathon ( glacé ) d'Echternach

2002 commence très tôt pour les compétitions : dès le 13 janvier, je suis sur un semi-marathon à La Gripperie-St-Symphorien. 2 boucles, 3 côtes par tour, nombreux passages en chemins de terre, départ prudent, bien fini en 1 h 39 ' 51, je suis 3eme V2
J'attends le 24 février pour enchaîner à Aigrefeuille, sur un 10 km sans autre difficulté qu'un faux-plat et un vent de face entre le 6eme et 8eme kilo. C'est un jour ou tout va bien, je tiens très facilement un bon rythme, sans me forcer et je fais 41'44, avec les 2 derniers kilomètres en 7'53. Dommage que cette forme de pointe n'arrive pas à chaque course
Le 14 avril, je cours le semi-marathon de La Rochelle. Je voulais faire 1 h30, ce qui est possible jusqu'au 14eme km où je passe en 1 heure pile, mais je ne tiens pas l'allure sur la fin et ne fais "que" 1 h 32' 38
Le 8 mai, encore une fois, je me retrouve à Luchon, à grimper " La Crémaillère". Le temps est très humide, mais il ne pleut pas. Toute la fin du parcours est dans la neige et avec la pente ( environ 22% ) les appuis sont très fuyants, les chaussures glissent énormément. Je fais 1 h 04 '58, temps moyen pour moi. Cette année, innovation sur la course, on chronomètre le "Kilomètre vertical" : partant à 630 m d'altitude, il y a un temps de passage pris à 1630 mètres. On m'annonce que j'ai mis 54'21 pour monter de mille mètres.
Le 25 mai, je reviens pour la 3eme fois à Salers, dans le Cantal, pour la course " La Pastourelle ". Nouveau circuit, de 29,5 km cette année, avec plus de 1000 m de dénivellé. Il fait un temps froid et humide, après 1/4 d'heure de course nous avons une pluie froide et du vent, jusqu'au sommet du Puy Violent, à 1592 m. Le paysage doit être beau, mais cette météo désagréable n'incite pas à traîner en haut. La descente qui suite, de 2 ou 3 km de long est rendue délicate par la pluie, le terrain, les rochers sont glissants et la pente est assez forte. Je passe ensuite au Col de Néronne (20eme km, 1242 m ) en 2 h24. Je finis en 3 h25'42. J'ai mis 1/2 heure de plus que Delphine, sympathique amie Paloise que nous rencontrons d'habitude à Luchon et qui est venue changer d'air. Elle gagne avec 20 mn d'avance sur la 2eme, et à voir la tête des coureuses locales lors de la remise des prix, elles se demandent encore aujourd'hui " Qui c'était celle-là ? "
Après la montagne, la mer : le 23 juin, c'est à Belle-île-en-Mer que nous trainons nos runnings, pour le "Grand Raid". La course traverse toute l'île, de Sauzon à Locmaria. Il y a 9 côtes de 40 à 50 m de dénivellé chacune, avec des passages à plus de 15%. Le parcours est magnifique, cette île Morbihannaise est vraiment très belle. La veille, la pasta party s'est déroulée dans une ambiance de Fest-Noz, et de plus c'est la fête de la musique. Un week end vraiment très agréable, nous en profitons pour aller dire bonjour à Robin et Sophie, à Arzon.
Le 7 juillet, je profite de cette bonne forme pour faire les 23 km, à Ste Néomaye (79), " Les Chemins du Roy". Comme à Belle-île, il y a des côtes redoutables, et des descentes rapides, mais ici, c'est sur des chemins caillouteux, et il vaut mieux bien faire attention où on pose les pieds. Je mets 1 h 51, 48eme sur 163.
Pas d'autre course dans l'été, je cours ensuite à Luchon, pour la "Panoramique". Sur les 18,4 km, je fais mon meilleur chrono en 1 h 46 '20. Etant 5eme Vétéran 2 , je ramène une coupe et un livre de montagne remis par mon copain Maurice, sympa !
Le 8 septembre, juste de retour de vacances, encore Mervent, sur le 25 km, cette année. Le trail est assez peu vallonné dans les 14 premiers km, mais ensuite c'est le toboggan !!! côtes et descentes s'enchaînent, mais malgré les pentes très fortes , je monte tout en courant, ce qui me permet entre autre de doubler 8 coureurs rien que dans la derniere côte. La montée de Luchon m'a bien servi !
Je prépare ensuite le marathon d'Echternach, au Luxembourg qui m'avait bien plu il y a 2 ans ( 3 h34 ). Je fais au passage, mais sans forcer les 20 km de Rochefort en 1 h 29'57.
A Echternach, le 20 octobre, il fait très froid ce matin-là, moins 2°. Comme il faisait assez beau ces derniers jours, je n'ai pas apporté de collant long, je pars donc en short. Je ne sais pas si c'est le froid, mais vers le 10eme km, je ressens un point douloureux au mollet droit. La gêne augmente doucement au fil des kilomètres, et comme je me suis engagé au marathon de Vannes 1 mois après, ne voulant pas agraver la blessure, j'arrête vers le 25eme km. Le temps d'une douche et Jean-René nous fait traverser la frontière Allemande pour déjeuner dans un resto Grec....
Le 17 novembre, à Vannes, je ne vais pas plus loin que le 7eme kilomètre. Cette fois, c'est le claquage, douleur vive et instantanée qui me fait rentrer en marchant et en boitant jusqu'à la voiture. Dommage, ce marathon est magnifique, avec des passage dans cette très jolie ville bretonne, et des sentiers côtiers au bord du golfe du Morbihan. Ce sera pour l'an prochain.... j'espère !!!
Je m'arrête de courir un mois, et je reprends tranquillement en attendant 2003
1798 km

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